Publié le 9 Juillet 2010

Bonsoir

 

Ci dessous le dernier bulletin de l'UD Fo95.

 

 

 

Diapositive1-copie-2.JPG

Voir les commentaires

Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #FO

Repost0

Publié le 8 Juillet 2010

Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #FO

Repost0

Publié le 7 Juillet 2010

Cliquer sur l'image ci-dessous

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #FO

Repost0

Publié le 30 Juin 2010

Cliquer sur l'image ci-dessous

 

Voir les commentaires

Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #FO

Repost0

Publié le 30 Juin 2010

LES SYNDICATS APPELLENT À UNE JOURNÉE DE GRÈVES ET DE MANIFESTATIONS LE 7 SEPTEMBRE
La quasi-totalité des organisations syndicales, dont FO, ont appelé hier tous les salariés du privé et du public «construire ce jour-là une mobilisation d'ampleur» contre une réforme «injuste et inacceptable». Pour FO, le mot d'ordre reste le retrait.

 

La mobilisation contre la réforme des retraites ne s'arrêtera pas avec les départs en congés d'été. La quasi-totalité des organisations syndicales, dont FO, se sont en effet réunies mardi pour définir les suites à donner à l'opposition au projet de loi gouvernemental ayant notamment marqué le mois de juin. FO, CFDT, CFTC CGT, Solidaires, FSU, UNSA ont décidé ainsi de lancer «une journée de grèves et de manifestations le 7 septembre», date du début de l'examen du projet de réforme des retraites au Parlement, souligne un communiqué commun. Elles appellent «tous les salariés du privé et du public, les demandeurs d'emploi, les jeunes et les retraités à construire ce jour-là une mobilisation d'ampleur» contre une réforme «injuste et inacceptable» en raison notamment du «report brutal des âges légaux à 62 et 67 ans». Dénonçant «la campagne médiatique précipitée du gouvernement qui travestit la réalité du projet» alors qu'il est l'un des «plus dur d'Europe», les syndicats prévoient aussi d'occuper le terrain durant l'été via des initiatives nationales et locales afin d'interpeller le gouvernement et ses représentants, en particulier le 13 juillet, jour du passage du projet de loi en Conseil des ministres.

«Pour FO, le mot d'ordre reste le retrait pur et simple du texte», a précisé René Valladon chargé de faire valoir les positions de son organisation auprès de ses homologues. Car, «après notre mobilisation exceptionnelle du 15 juin (celle de FO) qui a rassemblé plus de 70.000 personnes dans la rue», a expliqué le secrétaire confédéral de FO, «nous avons constaté que le retrait du projet est une revendication qui était montée, depuis, en puissance chez les salariés». Et d'ajouter, «chacun avait pu le remarquer, par exemple lors des manifestations du 24 juin à laquelle FO n'avait pas appelé formellement». Outre FO, Solidaires et la FSU se sont prononcés publiquement dans ce sens mardi.

Les syndicats ont prévu de se revoir fin août pour préparer la journée de mobilisation du 7 septembre.

 

Communiqué des organisations syndicales du 29 juin

Ces dernières semaines, les salariés du public et du privé, les demandeurs d’emploi, les jeunes et les retraités se sont mobilisés de plus en plus massivement sur les retraites, notamment le 24 juin 2010. Ils ont réaffirmé leur opposition au projet de réforme injuste et inacceptable du gouvernement, notamment au report brutal des âges légaux à 62 et 67 ans qui pénalise particulièrement les salariés ayant commencé à travailler jeunes et ceux ayant eu des carrières chaotiques et incomplètes. Cette réforme n’apporte, par ailleurs, pas de réponse sur le plan de la pénibilité. Elle aggrave les inégalités entre les hommes et les femmes.

Les organisations syndicales dénoncent la campagne médiatique précipitée du gouvernement qui travestit la réalité du projet.

Cette réforme, une des plus dures d’Europe, arrive dans une situation économique dégradée où le chômage est en hausse continue et touche plus fortement les jeunes et les seniors. Les politiques de rigueur se généralisent dans toute l’Europe en aggravant les inégalités et hypothèquent fortement toute reprise.

Des initiatives intersyndicales viseront à interpeller le gouvernement et ses représentants, aux niveaux national et local, le 13 juillet, jour du Conseil des ministres qui adoptera le projet de loi. Durant l’été, les organisations syndicales interpelleront les parlementaires.

Les organisations syndicales CFDT, CFTC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA vont poursuivre leur action tout au long du processus législatif de la réforme des retraites.

Elles décident d’une nouvelle journée nationale de grèves et de manifestations le 7 septembre 2010, au moment où s’ouvrira le débat parlementaire. Elles appellent tous les salariés du privé et du public, les demandeurs d’emploi, les jeunes et les retraités à construire ce jour une mobilisation d’ampleur.

Voir les commentaires

Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #FO

Repost0

Publié le 26 Juin 2010

Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #FO

Repost0

Publié le 21 Juin 2010

POUR FO, IL N’Y A RIEN À NÉGOCIER DANS LE PLAN WOERTH SUR LES RETRAITES
«Si c'est pour discuter des centièmes derrière la virgule, ce n'est pas la peine!». La confédération n’a pas répondu pas à l’invitation du ministre du Travail dans la mesure où il a fermé la porte sur le recul de l’âge de la retraite après 60 ans.

 

Mercredi après la présentation de son avant-projet de loi sur les retraites, le ministre du Travail, Eric Woerth, avait indiqué que sa «porte est ouverte» pour discuter quelques jours avec les partenaires sociaux assurant que le texte gouvernemental était encore «amendable»… tout en restant fermé sur l’essentiel de la réforme. «Nous ne reviendrons pas sur les mesures d'âge (report de 60 à 62 l'âge légal de la retraite et de 65 à 67 ans l'âge pour avoir une retraite à taux plein)», avait-il alors déclaré. Il avait ajouté «il y a beaucoup d'autres choses à discuter», notamment sur le «dispositif des carrières longues» et la «pénibilité». Opposée à toute remise en cause de la retraite à 60 ans comme à tout nouvel allongement de durée de cotisation dans le privé et le public, la confédération FO n’a pas répondu à l’invitation du ministre. «Nous ne voyons pas ce que nous irions faire puisqu'il ne s'agit pas de discuter de l'âge légal de départ. Si c'est pour discuter des centièmes derrière la virgule, ce n'est pas la peine!», a expliqué jeudi FO qui exige «le retrait pur et simple du projet gouvernemental».

FO porte en effet «un jugement très sévère sur cet avant-projet de loi qui ferait porter la quasi-totalité des efforts sur les salariés, qu’ils soient des secteurs privés ou publics et n’apporterait pas les ressources indispensables à l’équilibre de nos régimes de retraite». La centrale fustige une réforme, dont la philosophie générale est «travailler toujours plus pour gagner toujours moins!».

Il en est ainsi du recul de l’âge de la retraite à 62 ans à raison de quatre mois par an «alors que les durées d’assurance sont comptabilisées en trimestres». C’est d’autant plus «inacceptable», précise-t-elle, que «toutes les barrières d’âges seraient impactées: le taux plein (hors durée de cotisation) ne serait plus accordé à 65 ans mais à 67 ans», y compris «pour les salariés au minimum vieillesse» qui seraient dès lors maintenus dans une «situation d’extrême précarité (RSA, ASS…) deux années de plus!» Quant à l’augmentation des recettes avancées par M. Woerth, FO fait remarquer: «les 3,7 milliards d’euros annoncés ne représentent même pas la valeur d’un point de cotisation (4,2 milliards d’euros) et que la contribution des hauts revenus avec son apport limité à 400 millions d’euros» est on ne peut plus «symbolique». Notons au passage que l’essentiel de ces ressources proviendrait donc de la suppression d’une partie allègements de cotisations patronales (2 milliards d’euros). Sachant que le budget de l’État, selon la loi, est censé compenser aux caisses de protection sociale (et donc des retraites) ce type d’exonérations, il y a de quoi s’interroger également sur l’apport réel de cette suppression.

Après avoir mobilisé le 15 juin des dizaines de milliers de salariés, FO réunit aujourd’hui sa Commission exécutive pour décider des suites du mouvement, dont le seul mot d’ordre ne peut être, pour FO que le retrait du plan du gouvernement.

 

http://www.force-ouvriere.fr/

Voir les commentaires

Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #JOUR APRÈS JOUR

Repost0

Publié le 18 Juin 2010

AUT 4583  AUT_4586.jpg

 

AUT_4600.jpg  AUT_4603.jpg

 

AUT_4611.jpg     AUT_4613.jpg

 

AUT_4624.jpg  AUT_4631.jpg 

 

AUT_4633.jpg  AUT_4634.jpg  AUT_4637.jpg

 

AUT_4642.jpg  AUT_4648.jpg

 

Merci à Patrick pour les photos

 

 

 

 

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #SOA LOGISTICS SAS

Repost0

Publié le 16 Juin 2010

Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #DIVERS

Repost0

Publié le 16 Juin 2010

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FO RÉCLAME LE «RETRAIT PUR ET SIMPLE» DU PROJET DE RÉFORME DES RETRAITES
Le texte présenté ce matin fait reposer l’essentiel des efforts sur le dos des salariés. Il prévoit de repousser à 62 ans l’âge légal de départ et à 67 ans la retraite à taux plein. Des mesures contre lesquelles la Confédération reste hostile.

 

Comme prévu, l’avant-projet de réforme des retraites a été présenté ce matin par le ministre du Travail, Eric Woerth. Sans surprise, il confirme toutes les craintes exprimées par les syndicats, en particulier par FO qui, pas plus tard qu’hier, a mobilisé sur le dossier plus de 70.000 personnes dans les rues de Paris lors d’une journée interprofessionnelle de grève et de manifestation. Une journée au cours de laquelle les salariés du privé et du public ont exprimé haut et fort leur attachement à la retraite à 60 ans et leur hostilité à tout allongement de la durée de cotisation. Deux mesures qui constitueront le «cœur de [la] réforme» dévoilée aujourd’hui par le gouvernement.

Son projet prévoit en effet de repousser, pour tous, l'âge légal de départ à 62 ans d’ici à 2018, à un rythme de quatre mois de cotisation supplémentaires par an à partir du 1er juillet 2011. Concernant la durée de cotisation nécessaire pour toucher une retraite à taux plein, qui aura atteint 41 ans en 2012, le gouvernement souhaite qu'elle soit portée à 41 ans et trois mois à partir de 2013.La barre des 65 ans, qui correspond à l'âge auquel une pension de retraite à taux plein -c'est-à-dire sans décote même s'il ne dispose pas de la durée de cotisation nécessaire- est garantie, sera également repoussée de deux ans, à 67 ans. En outre, au nom d’une prétendue «équité», il entérine le «rapprochement» des régimes du public sur celui du privé, via une hausse de 3 points du taux de «cotisations retraites» des fonctionnaires, aujourd'hui fixé à 7,85% (voir notre article du jeudi 10 juin 2010).

Pour faire avaler la pilule aux salariés, il égrène enfin des mesures censées taxer le capital, les hauts revenus et les entreprises qui, tout au plus, rapporteraient, selon les calculs de M. Woerth, 4,4 milliards d’euros, dont la moitié proviendra de la remise en cause d’une petite partie des allègements de cotisations patronales. Sachant que le «déficit» des retraites est évalué à 32,3 milliards d'euros cette année et 42,3 milliards en 2018, et comme l’a expliqué le ministre lui-même, les mesures d'âge absorberont, à elles seules, environ 50% des déficits d'ici à 2018. Personne n’est dupe, cette réforme a été taillée d’abord et avant tout pour satisfaire les appétits des marchés financiers. Lesquels, selon le quotidien économique Les Échos, «vont regarder de près le projet» du gouvernement gouvernemental qui, d’ores et déjà a prévu un argumentaire pour les investisseurs.

«Ce projet est dangereux, injuste socialement et inefficace économiquement», a réagi instamment le Secrétaire général de FO, Jean-Claude Mailly, pour qui «le titre de la note de synthèse du ministère du Travail est d'ailleurs significatif puisqu'il est question de répartir "équitablement l'effort entre les salariés"» en augmentant leur «durée d’activité». En clair, a-t-il ajouté, «ça veut bien dire que ce sont les salariés qui paient l'essentiel» de la facture au regard des prélèvements supplémentaires annoncés sur le capital et les hauts revenus qui ne constituent tout au plus que «des recettes de poche». Par conséquent, le leader de FO a réclamé le «retrait pur et simple» du projet tel qu’il a été présenté aujourd’hui et redouté hier. Et conformément aux positions de la centrale syndicale qu’il a portées lors de son intervention devant les milliers de manifestants rassemblés mardi après-midi place de la Nation à Paris: «Refuser une contre-réforme, rejeter tout report au-delà de 60 ans, rejeter tout allongement de la durée de cotisation et rejeter toute remise en cause du code des pensions.»

 

http://www.force-ouvriere.fr/

 

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #FO

Repost0