Publié le 25 Juillet 2011

 
 
Bonsoir
Vous trouverez ci-dessous le bulletin de L’UD FO 95 de Juillet Août 2011.
 
Un hommage est rendu à Christian.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #FO

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Publié le 22 Juillet 2011

Ci dessous le communiqué de l'entreprise

 

 

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Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #3M FRANCE

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Publié le 20 Juillet 2011

 

Quelle lamentable et scandaleuse impuissance des Etats face aux marchés financiers ! Quelle caricature du politique et de la démocratie que de voir ces réunions à 8, à 12, à 27, où chefs d'Etats et ministres des finances s'essoufflent lamentablement derrière les « agences de notation » au nombre de trois (Fitch, Moody's et Standard & Poor's) qui chaque jour en rajoutent une couche en disqualifiant un peu plus les créances de la Grèce, de l'Espagne, du Portugal, de l'Italie, etc.

Quelle effarante hypocrisie des gouvernements qui font mine de prendre l'affaire à bras le corps quand en réalité ils n'agissent qu'en réaction aux états d'âme des « marchés financiers » ! Marchés financiers qui ne sont au final que les banques, les compagnies d'assurance et les grands fonds d'investissement.

Oui toute dette implique un risque de solvabilité aux échéances de remboursement. Oui la dette d'un Etat, comme toute autre dette, nécessite d'évaluer son avenir et ses rythmes probables d'acquittement. Oui il y a derrière la dette grecque ou italienne (pour ne prendre que ces deux cas) une longue histoire de gestion scandaleuse du bien public. Mais comment accepter (au regard de ce qui est en train de se produire au plan social en Europe, aux Etats- Unis et au Japon) que les taux d'intérêt appliqués aux dettes publiques soient pilotés par ces agences de notation, poissons pilotes de la finance privée ? Car leurs « notes » commandent l'évolution des taux d'intérêt (le risque possible), taux d'intérêt qui ne sont que la valeur spéculative des créances sur les marchés privés de la dette... publique. Si la dette publique est ainsi privatisée, que reste-t-il de public dans les orientations financières des gouvernements ?

C’est pourquoi la pantomime des réunions gouvernementales fait pitié. Car derrière cette incapacité à arrêter cette spirale, se trouvent, enfouies sous 25 années de libéralisme, des responsabilités politiques directes et la décision de se livrer pieds et poings liés à la finance privée. Les gouvernements sont bien les premiers responsables de cette mécanique infernale. Ce sont bien eux qui ont décidé…

  • que l’Union européenne resterait un vaste « zone de libre échange » de mise en concurrence de tous contre tous, sans budget central.
  • que la banque centrale européenne (émettrices des monnaies) serait indépendante des Etats ;
  • que ces derniers (essentiellement en zone euro) ne pourraient emprunter que sur les marchés financiers mondiaux et donc privés ;
  • que le système bancaire serait totalement privatisé, devenant un des acteurs majeurs de ces marchés et perdant toute fonction d'appui aux politiques économiques publiques ;
  • que les marchés financiers deviendraient juges et parties du risque sur les dettes publiques ;
  • et c'est encore eux qui s'apprêtent à faire entrer dans les constitutions nationales le fait que les budgets nationaux doivent être impérativement à l'équilibre, c'est-à-dire privés de toute marge de manœuvre financière ou monétaire. En France, un premier vote parlementaire vient d’avoir lieu. Ce texte prévoit de définir sur trois ans l'évolution des recettes et dépenses du pays, en visant un retour à l'équilibre global entre recettes et dépenses, qui s'imposerait ensuite à toute l'action publique, tant au niveau de l'Etat que des collectivités territoriales.

Un bateau ivre

N’étaient-ils pas pitoyables quand ils expliquaient dès 2009 que se profilait déjà la fin de la crise ? Car la messe est dite et voici que se dévoile maintenant le troisième étage de la crise ouverte fin 2007 :

  • La zone euro est désormais un bateau ivre.
  • La fameuse reprise économique aux Etats-Unis est en train de se transformer en dangereuse stagnation, nourrie par une dette vertigineuse de plus de 14.300 milliards de dollars (autre chose que celle de la Grèce soit dit en passant !) et un dessèchement du marché du travail.
  • Le Japon est incapable (une fois encore en raison de sa dette) de faire face aux conséquences économiques des catastrophes naturelles qu’il a subies.
  • Et sans doute faut-il y ajouter une dangereuse montée de l’inflation en Chine ainsi que les effets de spéculation sur le prix des matières premières etc.

Tout cela prend racine dans la crise de 2007, dans une crise due à la cupidité et à la spéculation. Ensuite le scénario s'est presque écrit tout seul : aide des Etats aux banques, récession, stagnation de la demande dans les pays occidentaux, plans d'austérité d'une violence inouïe qui accentue le délabrement social, fuite en avant de la dette... Il faut, en effet, sans cesse rappeler que la dette des Etats européens est pour l'essentiel détenue par la finance privée. C'est ainsi que la boucle est bouclée. Ceux qui portent la responsabilité de la déflagration de 2007 spéculent aujourd’hui et se fond du gras sur les créances européennes.

Le bilan honteux du libéralisme

Devant pareil scandale, une seule question vient à l’esprit : pour combien de temps encore ? Combien de temps les populations vont-elles supporter cela ? Combien de temps les reculs programmés de l’âge de la retraite ? Combien de temps le démantèlement des services sociaux ? Combien de temps ces réunions gouvernementales pathétiques qui, face aux besoins de la finance privée, se terminent inévitablement par de nouvelles mesures de restriction pour les populations ?

Tous les ingrédients d’un troisième acte de la crise sont donc réunis. Car à partir du moment où les dettes publiques sont devenues des produits financiers spéculatifs disponibles sur le marché, il y a les gagnants probables qui jonglent au jour le jour en jouant sur les taux, et il y a les perdants potentiels parce que trop englués dans leurs stocks de dettes publiques pour pouvoir en sortir rapidement. C’est le cas des banques françaises qui détiennent pas mal de dette grecque ou italienne notamment. C’est aussi le cas de six banques espagnoles qui présentent de sérieuses insuffisances de fonds propres pour faire face à un nouveau choc bancaire. Ces exemples abondent.

Or, au moindre défaut de remboursement d’un Etat, ces fragilités supposées ou révélées reproduiront ce qui s’est passé en 2008 : les banques n’oseront plus se prêter mutuellement et le marché interbancaire se bloquera à nouveau. Faudra-t-il alors recommencer l’aide financière massive des Etats aux banques privées, comme en 2008 ? Avec des conséquences économiques et sociales exponentielles. Or, c’est bien ce qui pourrait nous arriver dans les prochaines semaines ou mois. C’est tout un système qui part en vrille. Un système progressivement mis en place durant 25 ans par les politiques qui nous gouvernent sous la pression dominante de la finance privée. Combien de temps encore ?

 

Lien : http://www.apex.fr/web/dettes-publiques-troisieme-acte-de-la-crise.html

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Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #DIVERS

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Publié le 17 Juillet 2011

 

 

SANDRINE ROUSSEL-DRUART: «MILITER M’EST AUSSI INDISPENSABLE QUE DE RESPIRER!»

 

 

J’ai réalisé combien le monde du travail était injuste en 1989, quand j’ai commencé à travailler comme comptable dans une P.M.E. Très rapidement j’ai revendiqué un peu plus d’égalité (il n’y avait pas de syndicat) et en même temps j’ai recherché un autre boulot. Et en 1991, j’entre au Centre Hospitalier de la Haute-Marne (établissement psychiatrique) comme agent administratif, affectée à la D.R.H.

 

Là, je découvre que l’injustice existe aussi dans la F.P.H. et je ne peut m’empêcher d’exprimer mes opinions pour défendre mes intérêts ou ceux de collègues proches. Une collègue m’ayant fait comprendre que toute vérité n’est pas bonne à dire “en direct”, en 1993 je me syndique à FO, majoritaire chez les administratifs.

 

 

 

 

Tout de suite je suis élue membre du bureau, puis, aux élections sui- vantes, membre du C.T.E. et des C.A.P.L. En même temps, je bénéficie de deux préparations aux concours : ADC et secrétaire médical. Nommée secrétaire médicale au Centre Hospitalier de Chaumont en 1997, je reviens au Centre Hospitalier de la Haute-Marne par mutation un an plus tard et réintègre mes fonctions au bureau syndical. Elue secrétaire du syndicat FO du C.H.H.M. et membre bureau régional santé en 1999, je deviens secrétaire du Groupement départemental santé en 2004. Trois ans après, Brigitte BALLAY, qui était ma secrétaire ad- jointe, me succède au poste de secrétaire FO du C.H.H.M.

 

 

 

Avec Nathalie CORTINOVIS (secrétaire du syndicat FO de Joinville et Pascal MONGIN (secrétaire du syndicat FO du C.H.G. de Chaumont) qui sont mes secrétaires adjoints, nous organisons des réunions d’information dans tous les établissements du département. Nathalie, qui est aide-soignante, m’accompagne dans tous mes déplacements et elle est un formidable atout pour notre équipe, parce qu’elle, continuant d’exercer son métier de soignante, les agents se sentent compris dans leurs difficultés.

 

 

 

Nous avons ainsi créé plusieurs syndicats et relancé une dynamique dans certains. Actuellement nous avons 12 syndicats FO sur 16 structures relevant de la F.P.H. et de nombreux syndiqués isolés dans une treizième.

 

 

 

Chaque secrétaire de syndicat a bénéficié d’une formation syndicale solide, car même si le travail de terrain est indispensable, la connaissance du statut reste primordiale dans la défense des intérêts des agents. A chaque réunion de groupement départemental (G.D.) et à chaque réunion dans les différentes structures, je m’emploie à entretenir et développer cette formation. Je diffuse également très largement l’ensemble des informations qui sont en ma possession : je reste une vraie administrative!

 

 

 

Aux élections de 2007, FO est devenu majoritaire aux C.A.P.D. avec 35 % des suffrages exprimés. Ce résultat, nous le devons uniquement au travail et au militantisme des secrétaires de syndicats et leurs équipes.

 

 

 

Je n’ai pas voulu être permanente syndicale car je souhaite garder des relations professionnelles avec mes collègues et les équipes dans les services où j’interviens, puisque je n’ai plus de poste fixe. Cependant je conserve de nombreux mandats local et départemental : C.A.P.- C.T.E.- U.D.[1]- C.P.A.M.[2]- U.G.E.C.A.M.[3]

 

 

 

Militer m’est devenu aussi indispensable que de respirer ! Avant d’être engagée comme je le suis, il fallait toujours que j’essaie d’aider une amie, une collègue, une simple connaissance à résoudre ses problèmes ou tout simplement lui donner une information sur ses droits. Aujourd’hui que c’est mon « job » je ne vais pas m’en plaindre. D’autant qu’être mi- litant et siéger ainsi dans des instances si variées, c’est très enrichissant d’un point de vue humain et intellectuel. J’apprécie vraiment de travailler avec mes secrétaires de syndicat et leur bureau. Nous formons une belle équipe soudée.

 

 

 

Mon souhait : que l’on continue à progresser encore et encore.

 

 

 

Mon regret perpétuel : travailler toujours dans l’urgence avec un sentiment que le travail rendu aurait pu être de meilleure qualité, si l’on avait plus de temps.

 

 

 

Lien La tirbute FO Santé : http://www.fosps.com/iso_album/tribune_2_2011_nouvelle-maquette-tribune.pdf

 

 

 

 

 

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Rédigé par FO 3M SOA

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Publié le 11 Juillet 2011


Les magistrats dressent un bilan implacable sur la réduction des effectifs et des budgets dans la Police. Il recoupe le constat d’Unité-SGP-Police-FO qui envisage de mobiliser à la rentrée pour en finir avec les ravages de la RGPP.

Le rapport de la Cour des comptes sur «l'organisation et la gestion des forces de sécurité publique» entre 2002 et 2010 est pour le moins accablant pour la politique du gouvernement. Il dénonce en particulier l’inefficacité de la «politique du chiffre» et la baisse des effectifs de policiers.



Le rapport estime que «la culture du résultat» imposée depuis 2002 «comme mode de fonctionnement des services» a conduit à une gestion par objectifs chiffrés contestable. La fiabilité des statistiques en la matière est remise en cause du fait de leur «grande instabilité» parfois d'une année sur l'autre. Ainsi, en 2009 la reprise à la hausse de la délinquance a été évitée en grande partie par le refus des services d'enregistrer des plaintes de victimes d'escroqueries. La baisse de la délinquance, note-t-il plus loin, est due au fort recul des vols d'autos et des déprédations de biens mais pas à la diminution des violences contre les personnes ou des trafics de drogues.



Côté moyens, le bilan est tout aussi accablant. Le ministère de l’Intérieur a pris l’habitude d’annoncer les recrutements en masquant les postes supprimés dans le même temps. Résultat, les effectifs ont diminué de 5,3% depuis le 1er janvier 2003. Les forces de l’ordre sont mal employées et mal réparties. «Beaucoup sont affectés à des tâches administratives ou annexes (escorte de détenus, garde de bâtiments…)», limitant leur présence sur la voie publique. Les policiers accumulent également une foultitude d’«heures à récupérer». Quant aux budgets de fonctionnement (hors rémunérations), ils ont baissé de 25% en 2010. Enfin, le rapport dénonce le «rôle grandissant des polices municipales», dont la formation est insuffisante au regard des enjeux de sécurité, comme «le développement rapide et coûteux» de la vidéosurveillance, dont l’efficacité reste toujours à démontrer.



«Face à cette situation […], et que nous avons dénoncé mille fois, nous ne resterons pas […] l’arme au pied», a réagi Unité-SGP-Police-FO. Le premier syndicat de la profession envisage de mobiliser à la rentrée pour en finir avec la RGPP.

 

 

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Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #JOUR APRÈS JOUR

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Publié le 6 Juillet 2011

Ci dessous le lien vers l'article FO 3M France.

Lien : http://fo3mbeauchamp.over-blog.com/article-pourquoi-ne-pas-signer-l-interessement-a-3m-78588229.html

 

 

Avec des nouveaux embauchés sur SOA payés une misère (c'est une honte).

La non signature de l'accord d'intéressement sur 3M France.

Une participation 2010 ridicule.

Et des cadences de travail de plus en plus soutenues.

La fin de l'année risque d'être probablement chaude sur l'ensemble des parkings de la société 3M France et ses filiales.

 

 

 

 

 

 

 

POURQUOI NE PAS SIGNER L’INTERESSEMENT A 3M ?

 

Dans une note du 1er juillet 2011, la Direction des Ressources Humaines regrette la non signature de l’avenant à l’accord d’intéressement.

 

Il nous semble donc essentiel que les salariés de 3M France S.A.S. sachent pour quelles raisons le Syndicat Force Ouvrière n’a pas signé.

 

Elles sont multiples :

 

Primo : Il nous semble qu’un accord d’intéressement doit être signé si les salariés obtiennent « du plus » en termes de pouvoir d’achat.

 

Force est de constater que cet accord n’aurait même pas permis aux salariés de combler, et pour un an seulement, la perte de pouvoir d’achat que la politique salariale 2011 à 1,8% a fait subir (mais également celle de 2010 à 2,1% et le gel des salaires de 2009).

 

Et encore, cette politique salariale est conditionnée à l’appréciation. (ECDP)

 

Secundo : la Direction des Ressources Humaines est bien la seule à penser que l’objectif fixé était atteignable…

 

La Direction des Ressources Humaines oublie un peu vite ses antécédents en termes de prévisionnel. Elle avait annoncée Le 7 décembre 2009, la quasi obtention de l’intéressement avant de corriger le tir au début 2010 en annonçant la « non atteinte » de l’objectif… Les salariés 3M France et nous même ne l’oublient pas aussi facilement.

 

Ceux qui ne voyaient pas à trois semaines en 2009 seraient capables de voir et prévoir à 7 mois ?

 

 

Mais surtout…

Il nous semble essentiel de revenir à la base du salariat,

LE SALAIRE !

Les salariés de 3M France en ont assez de faire des sacrifices en termes de pouvoir d’achat alors que la Direction, qui les contraint, se goinfre d’actions gratuites et de stocks options.

 

Les cadres dirigeants de 3M France ont revendu pour 3,5 millions d’euros d’actions fin 2010, ce qui a participé à la baisse de la participation des autres salariés! Il faut que les choses soient dites !

 

En termes de cotisations sociales, il faut aussi savoir ce que l’on veut : 3M, comme beaucoup d’entreprises, ne propose que des mesures sans « charges sociales », en fait, sans salaire différé.

 

A ce petit jeu, le perdant est encore le salarié.

 

Lorsqu’il sera malade, sous l’excuse de déficit de la sécu, il devra payer 1€ pour chaque visite et 0.50€ par boite de médicament… On dé-remboursera en partie les médicaments… Par effet domino, sa mutuelle augmentera… On lui reculera l’âge de sa retraite…

 

Avoir son dû, le fruit de son travail et ne pas demander

l’aumône…

 

Les salariés prennent de plein fouet les augmentations d’énergie (Essence, gaz, électricité…), d’impôts locaux, des denrées alimentaires, des loyers…

La baisse du téléphone, de l’écran plat ou de la balle de ping-pong, ils s’en fichent royalement !

 

Les dépenses contraintes ont augmenté bien au delà de l’indice des prix.

Pour toutes ces raisons, votre syndicat Force Ouvrière a réclamé la réouverture de négociations salariales dès septembre, ce qu’a refusé la Direction de 3M France.

 

Nous vous souhaitons un été ensoleillé…

… pour préparer un automne brulant !

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Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #3M FRANCE

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Publié le 4 Juillet 2011

Bonsoir

 

Vous trouverez ci dessous la communcation de la direction sur l'intéressement signé par FO SOA Logistics.

 

 

 

Comme vous le savez, un accord d’intéressement pour l’entité juridique SOA Logistics, basé sur le principe de déclenchement d’une prime d’intéressement sous réserve de l’atteinte de 4 critères de performance distincts que sont le taux de service, le taux de litiges, la productivité et le présentéisme, a été conclu pour les années 2010, 2011 et 2012.

Cet accord fait chaque année, par voie d’avenant, l’objet de négociation entre la direction et les partenaires sociaux sur la révision des objectifs annuels à atteindre pour déclencher les versements.

Pour 2011, le montant de l’enveloppe d’intéressement à répartir entre les salariés sera calculé selon l’atteinte des objectifs tels que définis dans le tableau ci-dessous constituant les seuils de déclenchement :

 

Critères
Signification
Objectifs 2011
Taux de service
Conformité des commandes livrées par SOA
  98.1%
Taux de litiges
Réclamations clients imputables à SOA
  0.5°/°° au   maximum
Productivité
Efficacité du fonctionnement de SOA
 3430 cts / pers
Présentéisme
Assiduité des collaborateurs de SOA
  95%


Les niveaux de performance supérieurs à ces seuils permettent ainsi de déclencher des montants progressifs d'enveloppe d’intéressement allant de 9 000 euros jusqu’à 180 000 euros bruts, à répartir entre tous les salariés de SOA Logistics, au prorata de leur temps de présence (soit en moyenne pour un salarié présent toute l’année, une prime d’intéressement pouvant aller de 50 à 1 000 euros environ).

Pour rappel, sont éligibles au dispositif d’intéressement l’ensemble des salariés de SOA Logistics, en CDI ou en CDD, dès qu’ils ont acquis 3 mois d’ancienneté à la date de versement, et au prorata de leur temps de présence depuis le début de l’année 2011.

Les niveaux de performance atteints tout au long de l’année seront régulièrement présentés au Comité d’Entreprise et communiqués aux salariés.

La Direction des Ressources Humaines

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Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #SOA LOGISTICS SAS

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