Publié le 21 Avril 2015

Bonjour

3M annonce par une communicuation interne une procédure d’information consultation sur le projet de fermeture du site de Cluses

La mise en œuvre de ce projet aurait pour conséquence la suppression de 43 postes sur le site de Cluses et le transfert de 20 postes vers d’autres sites de Pouyet 3M Télécommunications.

A suivre

Pour rappel : http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2015/03/16/les-salaries-de-pouyet-3m-a-cluses-inquietes-par-un-probable-plan-social

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Publié le 20 Avril 2015

Spécial impôts 2015

ÉDITO - Pour une réforme générale de l’impôt républicain.
PPE - Les règles d’attribution de la prime pour l’emploi en 2015.
RÉDUCTIONS ET CRÉDITS D’IMPÔT - Les dépenses qui y donnent droit et comment les déclarer.
CALCUL - Les tableaux de calcul de votre impôt sur les revenus de 2014.

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Rédigé par FO 3M SOA

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Publié le 13 Avril 2015

Le guide « Connaître sa retraite » disponible en téléchargement sur le site de FO

Ce fascicule, dont les informations proviennent du GIP Union Retraite, n’a pas la prétention de figurer au rang des « guides techniques de la retraite » déjà nombreux sur le marché. Notre ambition est de fournir à tous les syndicats un outil retraite, aussi didactique que possible leur permettant de répondre aux préoccupations quotidiennes des salariés.

C’est pourquoi vous y trouverez, aussi souvent que nécessaire, des exemples pratiques illustrant les principales règles de droit en vigueur.

Téléchargez le guide retraite de Force Ouvrière : http://www.force-ouvriere.fr/connnaitre-sa-retraite

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Rédigé par FO 3M SOA

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Publié le 9 Avril 2015

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Publié le 9 Avril 2015

Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #SOA LOGISTICS SAS

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Publié le 9 Avril 2015

Depuis une dizaine de jours et pour encore quelques temps, les salariés de Beauchamp regardent une sorte de monstre mécanique géant au long cou, dépecer des morceaux entiers du passé industriel du site.

La suite ci dessous

http://www.fo3mbeauchamp.com/2015/04/idees-noires-sous-un-ciel-bleu.html

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Rédigé par FO 3M SOA

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Publié le 8 Avril 2015

Christophe Baumgarten, Guillaume Etiévant et Laurent Milet, experts du droit social, soulignent les risques de la loi en préparation sur le dialogue social: transformer les comités d'entreprise « en chambres d’enregistrement et de diffusion de la bonne parole actionnariale ». Au contraire, soulignent-ils, « le gouvernement ferait mieux » de renforcer le droit du travail « pour qu’il prenne en compte les évolutions de l’économie ».

Après l’échec des négociations patronat/syndicats sur la réforme des instances représentatives du personnel, le gouvernement annonce le dépôt d’un projet de loi pour la mi-avril avec un seul mot pour justifier ce qui s’annonce déjà comme un nouveau passage en force : « simplification ».

Car, selon Manuel Valls, les difficultés des entreprises à embaucher seraient liées non pas à l’absence de débouchés commerciaux, mais à la complexité du droit social. Ainsi, la simplification du « dialogue social » permettrait de « libérer la croissance ».

Il est toujours étonnant d’entendre, de la part de dirigeants politiques, cette idée selon laquelle les protections des salariés dans l’entreprise seraient des freins à l’emploi. Comme si la facilitation des licenciements pouvait réduire le chômage.

Il est également surprenant que, pour une fois, s’agissant d’efficacité des entreprises, on ne nous brandisse pas le modèle allemand alors que, rappelons-le, dans ce pays, les conseils d’entreprise jouissent de prérogatives bien plus étendues que nos CE, allant jusqu’à imposer aux employeurs d’obtenir leur avis conforme avant de mettre en œuvre les projets les plus importants.

Et pourquoi, si la simplification est la solution pour desserrer les contraintes des entreprises de façon à ce qu’elles embauchent, ne pas s’attaquer aux normes juridiques tout autant, voire plus complexes que le droit du travail, et avec lesquelles les entreprises composent quotidiennement : droit de la consommation, de la propriété intellectuelle, droit commercial, droit des entreprises en difficultés, en réformant au passage les formalités des entreprises et les tribunaux de commerce, le droit des sociétés, et bien entendu le droit fiscal ?

Sur ce dernier aspect, la réponse est claire et explique l’abandon de la promesse de campagne de François Hollande d’engager une grande réforme fiscale : les actionnaires s’accommodent fort bien de la complexité du droit fiscal qui leur permet d’échapper à l’impôt, grâce au système d’intégration fiscale et aux nombreuses niches, alors que le droit du travail les empêche d’agir de façon occulte et sans contrôle.

Derrière le prétexte de la simplification se cache en réalité la volonté politique de changer la nature du comité d’entreprise : d’une instance chargée du contrôle de la marche générale de l’entreprise, contrepoids au pouvoir de décision unilatéral de l’employeur, le gouvernement veut le transformer en une courroie de transmission auprès des salariés de la vision qu’ont de l’entreprise ses actionnaires.

Pour le moment, les annonces du gouvernement manquent de précision, mais le risque est grand que le projet de loi, ou des amendements parlementaires savamment téléguidés, transforment les CE en chambres d’enregistrement et de diffusion de la bonne parole actionnariale : réduction du nombre d’élus, des heures de délégation, suppression du budget de fonctionnement par la possibilité de le transférer sur le budget des activités sociales, suppression des expertises indépendantes, voire des expertises tout court, en imposant la codécision sur le choix des experts et leur co-financement.

Il faut donc sortir du faux débat de la simplification pour aborder les vrais débats : une société démocratique d’un pays développé peut-elle se passer d’instances qui représentent les intérêts des salariés et agissent comme un contre-pouvoir dans l’entreprise ? Les instances représentatives du personnel ne sont-elles qu’une contrainte pour les entreprises, ou bien sont-elles surtout une chance ?

Contrairement à ce qui est admis du coté du gouvernement et du patronat, l’intérêt des actionnaires n’est pas lié, loin de là, ni aux intérêts de l’entreprise ni à ceux des salariés.

L’exigence de retours sur investissement à court terme, avec des objectifs de taux de rendement du capital investi de 15%, quelquefois jusqu'à 50% par an dans certains LBO, alors que dans le même temps les banques prêtent à 3%, est un frein à l’investissement, et donc au développement de l’entreprise.

Au-delà de la nécessité que la citoyenneté ne s’arrête pas à la porte de l’entreprise, et que ceux qui créent les richesses, c’est-à-dire les salariés, puissent faire valoir leurs intérêts propres, celui de préserver et de développer l’emploi et le pouvoir d’achat, il est indispensable pour l’entreprise que sa situation et les décisions des actionnaires soient transparentes, puissent être discutées, et même contestées.

Grâce à l’exercice par les comités d’entreprise de ces prérogatives, combien d’emplois sauvés à l’occasion de réorganisations, combien de PSE améliorés dans leur volet d’accompagnement social ?

Quand on sait la façon dont les actionnaires, malgré la consultation des comités d’entreprise, ont transformé en dividendes les aides publiques et les exonérations fiscales et sociales (celles des dizaines de milliards du CICE et du CIR, qui ne servent ni à l'emploi ni à l'investissement ni à la recherche), on imagine facilement ce que pourrait être la gestion des entreprises avec des CE disposant de moins de moyens.

Aussi, et alors que chacun s’accorde à dire que la réalité économique est de plus en plus complexe à analyser, à comprendre et à prévoir, plutôt que de « simplifier » le droit du travail, le gouvernement ferait mieux de le renforcer pour qu’il prenne en compte les évolutions de l’économie. Par exemple, l’accès à l’information des comités d’entreprises devrait être élargi aux données du groupe d’appartenance de leur entreprise. Les représentants des salariés de filiales françaises de groupes internationaux sont en effet souvent dans l’incapacité de se forger un avis éclairé sur leur entreprise, car sa situation économique et financière est en grande partie construite comptablement, notamment par l’utilisation des prix de transfert. Pour adapter efficacement le droit du travail aux évolutions récentes de l’économie, il ne faut pas le faire par le bas, mais au contraire renforcer les prérogatives des représentants des salariés, afin qu’ils puissent réellement peser sur les décisions des directions d’entreprises et ainsi défendre utilement les salariés qu’ils représentent, et au final l’entreprise elle-même.

Christophe Baumgarten, avocat spécialisé en droit social
Guillaume Etiévant, expert auprès des comités d’entreprise
Laurent Milet, professeur associé à l’université de Paris-Sud et rédacteur en chef de la Revue pratique de droit social

Source: http://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/180315/dialogue-social-le-mythe-de-la-simplification-creatrice-d-emplois

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Publié le 7 Avril 2015

loi Macron, ou les dangers de l’hypnose libérale contemporaine

En guise de propos liminaire, précisons que nous parlerons ici par commodité de loi quand bien même il ne s’agit encore que d’un projet de loi à l’heure où nous écrivons. De fait, le contenu du texte est encore susceptible d’évolution. Toutefois, compte tenu de l’usage de l’article 49.3 de la Constitution pour l’adoption en 1ère lecture à l’Assemblée Nationale le 19 février dernier, il apparaît légitime de penser que le gouvernement y attache une grande importance et qu’il sera peu modifié d’ici son adoption définitive. Enfin, il ne sera bien sûr pas ici question de réaliser le catalogue complet de toutes les mesures de ladite loi mais d’en sélectionner et commenter les plus emblématiques dans leur caractère marqué de régression économique et sociale.

La suite ci dessous

http://news360x.fr/france-loi-macron-ou-les-dangers-de-lhypnose-liberale-contemporaine/

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Publié le 7 Avril 2015

Conférence sociale : pour FO « toucher au CDI serait inacceptable »

Le gouvernement a réuni les organisations syndicales et patronales le 3 avril au ministère du Travail pour dresser le bilan de la loi de 2013 sur la sécurisation de l’emploi. Pour FO, il est hors de question d’aller vers plus de flexibilité.

Le ministre du Travail, François Rebsamen, et celui de l’Économie, Emmanuel Macron, ont convié, dans la matinée du 3 avril, les organisations syndicales et patronales pour faire le bilan de la loi du 14 juin 2013, dite de sécurisation de l’emploi, issue de l’accord national interprossionnel (ANI) du 11 janvier 2013. Il s’agit de la première Conférence sociale thématique, héritière de la Grande Conférence sociale.

La loi compte une trentaine de dispositions, que le gouvernement a séparées, dans son document de bilan, en deux séquences : d’un côté les « droits nouveaux des salariés » (droits rechargeables, complémentaire santé, compte personnel de formation...) ; de l’autre « les dispositions mises en place pour anticiper les mutations économiques » (taxation des contrats courts, accords de maintien dans l’emploi…).

En amont de la rencontre, le ministère du Travail vantait cette loi comme « un modèle de réussite sur le fond comme sur la forme ». Un optimisme pour le moins exagéré tant il est difficile d’affirmer que l’emploi est plus sécurisé aujourd’hui et alors que l’ANI n’avait lui-même été signé ni par FO, ni par la CGT.

Le patronat à l’offensive

Jean-Claude Mailly, pour FO, a d’ailleurs mis en garde contre toute velléité d’accentuer la flexibilité. Et pour cause, plusieurs sujets sensibles ont été abordés, dont l’accord de maintien dans l’emploi. Ce type d’accord, dit « défensif », permet, pour les entreprises en difficulté économique, de modifier le temps de travail et de réduire les salaires pour deux ans. Les salariés qui s’y opposent sont licenciés économiques.

Depuis plusieurs semaines, le patronat plaide pour créer des accords « offensifs », qui s’appliqueraient même si l’entreprise n’est pas en difficulté, et pour supprimer la nature économique du licenciement en cas de refus. Deux propositions « inadmissibles » pour Jean-Claude Mailly.

Il a aussi prévenu que « toucher au CDI » serait « inacceptable ». Même si la réforme du contrat de travail n’était pas à l’ordre du jour de la réunion, le Medef revendique la possibilité de licencier plus facilement. Manuel Valls et Emmanuel Macron prêtent l’oreille à cette rengaine pour les PME. Le débat, rejeté en bloc par les syndicats, devrait être au cœur de la prochaine conférence thématique en juin.

Quant aux éventuelles modifications de la loi de 2013, elles ont été repoussées par le gouvernement à la mi-mai, une fois achevé le propre bilan des organisations syndicales et patronales (voir encadré ci-dessous). -

Focus : Un calendrier de travail pour évaluer les ANI
Comme prévu à l’agenda social, et indépendamment de la conférence du 3 avril, les organisations syndicales et patronales ont établi, le 30 mars, leur propre calendrier pour dresser un bilan thématique des derniers ANI (2006, 2008, 2009, 2012 et 2013).
Après une réunion de méthode le 8 avril, cette « évaluation quantitative et qualitative » se fera en quatre séances, du 28 avril au 18 mai (la dernière date reste à fixer) et « permettra d’envisager », si « besoin », des « ajustements ou évolutions nécessaires », selon le relevé de conclusions.
La question du contrat de travail sera examinée le 7 mai.

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Rédigé par FO 3M SOA

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