Publié le 30 Janvier 2010

Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #FO

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Publié le 28 Janvier 2010



Travailler +
Gagner -
Nouveau slogan chez 3M

 

 

 

Hier, un mouvement de grève a été lancé chez Fabricauto, entreprise spécialisée dans la fabrication de plaques d'immatriculation et propriété de 3M depuis novembre 2008.


Source : http://www.lejsl.com/fr/permalien/article/2633022/Debrayages-massifs.html

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Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #3M FRANCE

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Publié le 28 Janvier 2010

40 ANS, C’EST DÉJÀ TROP!


Même si le gouvernement n’a pas encore fait connaître officiellement ses intentions en matière de retraite, on voit très bien que le débat est lancé à travers les ballons d’essai et prises de position diverses, y compris sur le plan politique.

Le ministre du Travail, Xavier Darcos, chargé du dossier, explique ainsi qu’on ne doit pas avoir de tabou. Mais qu’il faudra augmenter, d’une manière ou d’une autre, la durée de cotisation. Autrement dit, pas de tabou, mais des œillères.

Depuis des années, on nous assure qu’à partir du moment où les gens vivent plus longtemps il est logique qu’ils travaillent plus! Cela fait partie des fausses évidences. Une telle assertion exclut tout débat sur la répartition des richesses et sur le modèle de société qu’il faut construire ou reconstruire.

Au nom de quoi, parce que l’on vit plus longtemps, faudrait-il travailler plus longtemps? Avec une telle logique il faudrait que les femmes travaillent plus longtemps que les hommes, au prétexte qu’elles ont une espérance de vie plus grande!

En fait, la seule question est celle du financement. Du fait du capitalisme libéral, de la dérégulation, d’une répartition plus inégalitaire des richesses (toutes les causes à l’origine de la crise), les bien-pensants affirment qu’on ne peut plus supporter les dépenses des régimes sociaux et qu’il faut donc les diminuer. D’où l’idée qu’il faudrait travailler plus longtemps.

Si les régimes étaient équilibrés, personne n’en parlerait. C’est pourquoi le dossier «retraites» ne peut être examiné en dehors des questions de politique économique et sociale et de fiscalité. C’est aussi pourquoi nous refusons de cautionner toute augmentation de la durée de cotisation ou tout report au-delà de 60 ans du droit au départ en retraite.

40 ans, c’est déjà trop! Surtout quand on sait qu’aujourd’hui la durée moyenne d’activité des salariés est inférieure à 40 ans (de l’ordre de 38 ans) et que toutes les périodes ne sont pas cotisées, même quand elles sont validées. Il faut donc de nouveau bloquer toute dégradation pour obtenir à terme une réduction de la durée.

De la même manière, nous n’accepterons pas que l’on remette en cause le code des pensions et le statut général de la fonction publique. Ceux qui plaident pour attaquer le code des pensions sont aussi ceux qui veulent détruire le statut, statut qui est un des garants de la neutralité républicaine de la fonction publique.

Force Ouvrière a donc travaillé sur les questions relatives au financement. Nos propositions permettraient d’assurer l’équilibre financier. Elles percutent la politique économique et sociale en cours, celle qui, en France comme ailleurs, conduit dans le mur.

Au passage, mais c’est important, quand il a fallu trouver de l’argent pour les banques, notamment, on l’a trouvé! Quand il s’agit de sauver le système bancaire, on a plus d’imagination que lorsqu’il faut consolider les droits sociaux.

Du côté des pouvoirs publics et de tous ceux qui plaident pour travailler plus longtemps (en gagnant moins), il s’agit aussi de montrer aux marchés financiers et aux autorités européennes que la France, pour respecter les critères de Maastricht, va imposer de nouveaux sacrifices aux salariés.

La retraite, c’est aussi le droit à la vie, c’est aussi la liberté et la sécurité. Et c’est cela qu’il faut garantir par la répartition, une amélioration du niveau des retraites et pensions (1,2 million de retraités sont sous le seuil de pauvreté) et un refus d’obliger les salariés à travailler plus longtemps, quelle que soit la formule. À terme, il faudra même obtenir une réduction de cette durée.

En cette année où l’on parle beaucoup d’Albert Camus, rappelons qu’il a écrit: «Qu’est-ce qu’un homme révolté? Un homme qui sait dire non.»

Alors que la communication va battre son plein, il nous appartient de rappeler haut et fort, dans un premier temps, nos revendications.


http://www.force-ouvriere.fr/

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Rédigé par FO 3M SOA

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Publié le 27 Janvier 2010


Depuis avril 2009, la durée de versement de l'allocation de chômage est calquée sur la durée des précédentes périodes de travail.

La nouvelle convention d'assurance chômage du 19 février 2009, en vigueur depuis le 2 avril 2009, pose un nouveau principe : un jour de travail cotisé égal un jour de chômage indemnisé.

Par rapport au texte précédent, la convention 2009-2011 améliore le sort des jeunes salariés et des saisonniers en abaissant le seuil d'entrée dans le dispositif puisqu'il suffit désormais de travailler 4 mois pour avoir droit à une indemnisation.

Inversement, il faut travailler plus longtemps pour bénéficier d'une durée d'indemnisation identique à celle précédemment accordée.

Durée d'indemnisation calquée sur la carrière

La durée de versement de l'allocation d'aide au retour à l'emploi (ARE) est égale à la durée de l'emploi précédemment occupé.

Période d'affiliation. Pour être indemnisé, le demandeur d'emploi doit justifier de 4 mois de travail rémunéré (122 jours ou 610 heures de travail) au cours des :

- 28 derniers mois s'il est âgé de moins de 50 ans ;

- 36 derniers mois s'il est âgé de 50 ans et plus.

Les 4 mois de travail ne sont pas nécessairement continus et peuvent avoir été accomplis chez un ou plusieurs employeurs.

Durée maximale d'indemnisation. Le versement de l'ARE est effectué pour une période correspondant à la durée d'affiliation de l'intéressé mais sans pouvoir dépasser :

- 24 mois (730 jours) pour les moins de 50 ans ;

- 36 mois (1 095 jours) pour les 50 ans et plus.

Exemple : Un demandeur d'emploi âgé de 47 ans qui a cotisé 16 mois aura droit à 16 mois d'allocations.
S'il a cotisé 40 mois, quoi qu'il arrive, il ne percevra l'ARE que pendant 24 mois.

Pour les plus âgés, cette limite peut toutefois être reportée (voir encadré).

 

Droits maintenus pour les chômeur de 61 ans

Les allocataires âgés de 61 ans en 2010 qui ne peuvent pas prétendre à une retraite à taux plein, faute de justifier du nombre de trimestres suffisants, ne perdent pas leurs droits.

Le versement de leur allocation peut être maintenu jusqu'à ce qu'ils puissent bénéficier d'une retraite à taux plein (65 ans au plus tard) s'ils :

- sont indemnisés depuis au moins une année ;

- justifient de 12 ans d'affiliation, de 100 trimestres de cotisation retraite et d'une année continue ou de 2 ans discontinus d'affiliation au cours des 5 dernières années précédant la fin de leur contrat de travail.

 

Déduction des formations. En cas de participation à une formation rémunérée par l'État ou les collectivités locales, la durée de versement de l'ARE est réduite à hauteur de la moitié de la durée de cette formation.

Ancienne convention maintenue pour certains

Les salariés engagés dans une procédure de licenciement avant le 2 avril 2009 restent soumis aux dispositions de la convention d'assurance chômage précédente. L'engagement de la procédure correspond :

- soit à la date de l'entretien préalable en vue du licenciement ;

- soit à la date de présentation de la lettre de convocation à la première réunion des représentants du personnel (licenciement collectif).

Pour les procédures de licenciement engagées avant avril 2009, l'ancien dispositif est maintenu. La durée de versement des allocations de chômage reste fixée à :

- 7 mois si le chômeur justifie de 6 mois d'activité salariée au cours des 22 derniers mois ;

- 12 mois s'il justifie de 12 mois d'activité au cours des 20 derniers mois ;

- 23 mois s'il justifie de 16 mois au cours des 26 derniers mois et s'il est âgé de moins de 50 ans ;

- 36 mois s'il justifie de 27 mois d'activité au cours des 36 derniers mois et s'il est âgé de 50 ans ou plus.

Couverture en fin de droits

Au terme du versement de l'allocation d'aide au retour à l'emploi, le chômeur qui a épuisé ses droits ne se retrouve pas sans couverture.

ASS. Il peut bénéficier, sous certaines conditions, de l'allocation de solidarité spécifique (ASS) en attendant de pouvoir prétendre à une retraite à taux plein (voir p. 38).

Aide forfaitaire. Si l'ASS n'est pas accordée, pour un autre motif que les conditions de ressources, le demandeur d'emploi peut demander une aide forfaire mensuelle égale à 27 fois la partie fixe de l'ARE, soit 298,08 €.

 

Prime exceptionnelle pour les non-indemnisés

Les salariés licenciés entre le 1er avril 2009 et le 31 mars 2010 qui ne justifient pas d'au moins 4 mois d'affiliation au cours des 28 derniers mois ont droit au versement d'une prime forfaitaire de 500 €.

Pour cela, ils doivent justifier d'au moins 2 mois de travail (305 heures) au cours des 28 derniers mois.


Source: http://interetsprives.grouperf.com/article/0672/sp/intprisp0672_8730.html

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Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #DIVERS

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Publié le 25 Janvier 2010

Dimanche 24 janvier 2010 à 17h sur I>Télé, Jean-Claude Mailly était l’invité de l’émission «17h Politique», animée par Audrey Pulvar et Nicolas Beytout.


http://www.force-ouvriere.fr/page_principal/multimedia/index.asp?lk=m&id=2697&theme_choisi=Presse%20-%20Communication




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Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #FO

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Publié le 21 Janvier 2010

Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #FO

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Publié le 20 Janvier 2010

Guide du conseiller du salarié ci dessous







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Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #FO

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Publié le 17 Janvier 2010


FO NE BATTRA PAS EN RETRAITE

Vendredi, lors de ses vœux aux patronat et syndicats, le Président de la République a évoqué à demi-mot un nouvel allongement de la durée de cotisation. Pour Jean-Claude Mailly (FO), ce serait là une option inacceptable.

Que retenir des vœux de Nicolas Sarkozy aux interlocuteurs sociaux, vendredi? Un discours policé qui s’est soldé par l’annonce – la seule – d’une «réunion d'agenda social» le 15 février pour dresser une «liste des sujets», définir une «méthode de travail» et fixer un calendrier de discussion, notamment sur la future réforme des retraites. «Dans ces sujets, on aura le problème immense de notre protection sociale face au défi du vieillissement», a déclaré le Chef de l’Etat. Selon lui, «ça fait cinquante ans que nous gagnons un trimestre d'espérance de vie par an» et, pour lui, c’est là une «bonne nouvelle» qui doit conduire à se pencher sur le système de retraite. Le président n’a pas souhaité entrer plus avant dans les détails de cette réforme qui «inclura naturellement la question de la pénibilité». Mais, nul ne peut être dupe. Lorsque l’on met ainsi en avant la hausse de l’espérance de vie ou le défi du vieillissement, surgit derrière l’allongement de la durée de cotisation et le report du départ à la retraite.

Au Sénat, mardi dernier, le ministre du Travail, Xavier Darcos, lui, avait annoncé la couleur: «je le dis donc sans ambages, dans un pays dont l'espérance de vie s'accroît d'un trimestre chaque année, nous n'avons d'autre solution que de travailler plus longtemps». «Eh bien, si c’est ça, c’est niet, c’est clair nos n’accepterons pas un nouvel allongement de la durée de cotisation», a averti Jean-Claude Mailly (FO). Au nom de quoi, a demandé le leader de FO, «le fait de vivre plus longtemps devrait-il nous amener à travailler plus longtemps?». Les salariés le veulent d’autant moins qu’ils demandent aujourd’hui à partir le plus tôt possible, a-t-il relevé. Le dernier sondage du Journal du dimanche publié le 10 janvier est à cet égard instructif. Contrairement à la présentation biaisée qu’il a pu susciter dans certains médias ou ailleurs, il montre que 64% des actifs préfèrent « partir le plus tôt possible », quitte à cotiser plus (41%), contre seulement 34% qui souhaitent « travailler le plus longtemps possible pour se garantir une retraite satisfaisante».

Pour FO, la question des sources du financement des retraites (augmentation des cotisations, recherche de nouveaux financements, réforme fiscale) doit être posée. Et Jean-Claude Mailly de mettre en garde: «si le gouvernement était tenté par une opération blitzkrieg, ça ne passera pas».

http://www.force-ouvriere.fr/

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Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #JOUR APRÈS JOUR

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Publié le 15 Janvier 2010

Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #FO

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Publié le 14 Janvier 2010

Rédigé par FO 3M SOA

Publié dans #SOA LOGISTICS SAS

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