Publié le 29 Mai 2009

Le Comité Central d’Entreprise du 28 mai portait en grande partie sur le devenir de S.O.A

 

Les experts d’Apex nous ont démontré que la Direction n’avait pas un vrai projet pour le site de logistique.

Selon la Direction, DHL n’apportait pas assez de volumes supplémentaires pour rendre le site viable. Pourtant, la même Direction entend faire vivre une filiale avec 20% de volume en moins …

La Direction ne prévoit pas d’investissement important sur ce site.

La Direction ne souhaite pas rapatrier les volumes de produits des nouvelles filiales EMFI et FaabAuto sur le site de SOA.

 

Par contre, la Direction prévoit des départs non remplacés, une plus grande flexibilité des salariés, une dénonciation des accords, un changement de convention….

 

Bref, la Direction prévoit d’arroser des braises avec un jet d’essence !

 

Attitude irresponsable de gens prétendument responsables….

Le passé récent de Pithiviers n'a pas convaincu encore notre direction générale.

Les salariés de SOA  ne subiront pas la double peine : quitter 3M et en payer les conséquences sur leurs fiches de paye ainsi que leurs acquis.

 

 

A bon entendeur……………………….

 









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Publié le 29 Mai 2009

Bonjour.


Information CCE DU 28/05/09.


Prime versée de 400 euros fin juin, et eventuellement 200 euros en septembre si le chiffre d'affaires est atteint.


Retard sur la filiale ,probablement septembre ,octobre ou plus, par contre confirmation de la filialisation sur SOA.


Dialogue difficile avec la direction générale sur la filialisation, cela nous promet des journées torrides sur les futures négociations.

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Publié le 28 Mai 2009

Ci dessous le tract du jour sur SOA

 

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Publié le 28 Mai 2009

Bonsoir

Vous trouverez ci dessous le tract affiché à Beauchamp suite à la dernière réunion du comité de suivi du PMD.


 

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Publié le 28 Mai 2009



Bonsoir


Suite au CCE de ce jour nous pouvons vous annoncer de manière officielle que la prime de 400€ sera bien versée en juin.

Dans la pratique tout se passe comme pour la participation.
Dans les prochains jours vous allez recevoir un courrier d'AXA.

Si vous optez pour le paiement de la prime celle-ci sera soumise à CSG, CRDS et Impôts.











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Publié le 28 Mai 2009



LA NOUVELLE LOI SUR LA REPRÉSENTATIVITÉ

SYNDICALE A DU PLOMB DANS L’AILE



Le syndicat des pilotes a ouvert une brèche dans la législation promue par la CGT, la CFDT et le patronat en obtenant du gouvernement la création d’un collège électoral spécifique. Organisations d'hôtesses et stewards, dont FO, s’y sont engouffrées.

La loi du 20 août 2008 sur la «rénovation de la démocratie sociale» est censée améliorer les règles de représentativité syndicale des salariés. Promue par la CGT, la CFDT, le MEDEF et la CGPME, elle stipule notamment que seul un syndicat obtenant au moins 10 % au premier tour d'une élection professionnelle peut être admis à la table des négociations dans une entreprise et qu’un accord n’est valable que s’il est signé par un ou des syndicats ayant obtenu au moins 30% des suffrages (sauf veto du ou des syndicats majoritaires). Depuis sa mise en œuvre (progressive) dans les entreprises au début de l’année, on assiste à un vaste bonneteau syndical d’où il ressort que des organisations, qui étaient jusque-là représentatives, ne le sont plus tandis que d’autres le devenaient.



Ainsi à Air France, le Syndicat national des pilotes de lignes (SNPL), aujourd’hui largement majoritaire chez les pilotes (77% des voix), pourrait perdre sa représentativité dès lors que le seuil de 10% requis se mesure par rapport à l’ensemble du personnel de la compagnie aérienne. «On compte 4.000 pilotes (sur quelque 75.000 salariés, NDLR). Même si un seul syndicat les représentait tous, il ne pourrait franchir le seuil des 10% sur l'ensemble de l'entreprise», souligne le SNPL. C’est la raison pour laquelle ce syndicat a menacé la semaine dernière de lancer une grève cet été si le gouvernement n’aménageait d’ici là le dispositif législatif, en créant un collège « pilotes » dans le corps électoral des salariés des compagnies aériennes. Et ce à l’instar du collège des «cadres» dans la plupart des entreprises ou des «journalistes» dans les médias. Sous la pression, le secrétaire d'Etat aux Transports, Dominique Bussereau s’est engagé à accéder à une telle revendication. Au grand dam de la CGT et la CFDT qui ont crié au scandale. Peut-être que celles-ci espéraient-elles renforcer leur audience sur le dos d’organisations rayées injustement de la carte?



Le gouvernement doit maintenant faire face aux syndicats d'hôtesses et stewards (SNPNC-FO, UNAC-CGC, CFTC et UNSA) qui exigent eux aussi une représentation syndicale spécifique. «La complexité des normes de sécurité en matière de temps de travail des équipages est telle que seuls des navigants sont en mesure de négocier avec les employeurs leurs accords d'utilisation», expliquent-t-ils dans un communiqué commun, avant de souligner: «la validité des accords concernant une catégorie de personnel relevant du code de l'aviation civile et non du code du travail, doit être mesurée par les seules personnes concernées par ces accords». Comme les pilotes, ils sont déterminés à obtenir gain de cause «par toute voie de recours possible», ont-ils prévenu.


Soutenant l'action engagée à ce titre par son syndicat SNPNC-FO, la fédération FO de l'Equipement, de l'Environnement, des Transports et des Services (FEETS-FO), première organisation du secteur du transport aérien, a dénoncé la «suppression du collège particulier pour les personnels navigants», une «conséquence de la position commune CGT-CFDT-MEDEF-CGPME du 10 avril 2008 et de son application par la loi liberticide du 20 août» qui piétine «tous les acquis sociaux obtenus par l'action syndicale».


http://www.force-ouvriere.fr/

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Publié le 27 Mai 2009

LES SYNDICATS RÉAFFIRMENT LEURS REVENDICATIONS


A l’occasion de leur quatrième journée d’actions, les organisations de salariés ont diffusé hier un texte commun dans lequel ils insistent particulièrement sur la nécessité d’augmenter les salaires, les minima sociaux et les retraites.

Alors que se déroulait leur quatrième journée de mobilisation, dont les modalités d’actions avaient été décidées localement, les huit organisations syndicales (FO, CGT, CFDT, FO, CFTC, CFE-CGC, FSU, Solidaires et UNSA) ont tenu mardi à réaffirmer et (surtout) préciser leurs revendications. Au cours d’une conférence de presse, ils ont dévoilé ainsi un texte commun dans lequel sont détaillées toutes leurs exigences en matière de pouvoir d’achat et d’emploi à l’égard du gouvernement et du patronat.

«Le gouvernement doit (…) revaloriser le SMIC, les minima sociaux, les pensions et les retraites» mais aussi «prolonger l’indemnisation des demandeurs d’emploi en fin de droit» et «conditionner toute aide publique, tout allègement de cotisations sociales à des contreparties mesurables en matière d’emploi, de qualification et de rémunération», soulignent-ils en exergue de ce texte élaboré lundi soir lors d’une intersyndicale. Le gouvernement doit également «supprimer la défiscalisation des heures supplémentaires, le bouclier fiscal et mettre à contribution les stock-options au titre de la solidarité», insistent-ils, avant de réclamer l’abandon des «suppressions d’emplois prévues pour 2009 et 2010» dans la Fonction publique.

Du patronat, les syndicats attendent essentiellement qu’il assume ses «responsabilités» et «engage des négociations» sur «les politiques de salaires, les politiques industrielles, l’évolution de l’emploi au niveau des branches professionnelles» ainsi que sur les rapports donneurs d’ordre-sous-traitants, pour maintenir et développer l’emploi et résorber la précarité».

Si elle s’inscrit dans le prolongement de leur déclaration commune du 5 janvier, cette plate-forme revendicative est «plus concentrée et surtout plus explicite pour bien marteler l’urgence d’augmenter le pouvoir d’achat des salaires seule à même de relancer l’économie» s’est félicitée FO, par la voix de Michelle Biaggi.

Sur la poursuite de la mobilisation, les syndicats s’en tiennent pour l’instant au 13 juin, journée nationale de manifestations décidée le 4 mai dernier. «S’agissant de l’après 13 juin, FO n’a pris aucun engagement», a déclaré la secrétaire confédérale, rappelant que «son organisation n’est pas favorable aux journées à répétition dans la mesure où cela pourrait lasser les salariés». La question des futures modalités d’actions reste donc posée. «À FO, nous sommes plus que jamais convaincus qu’il faudra passer par un appel à une grève interprofessionnelle franche de 24 heures pour forcer le gouvernement et le patronat à répondre enfin aux revendications des salariés», a souligné Michelle Biaggi.



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Publié le 27 Mai 2009



CHOIX DE SOCIÉTÉ, DEVOIR DE RÉSISTANCE



Trente mille suppressions de postes en 2009.

Trente-cinq mille programmées pour 2010.

La fonction publique d’État, tel un iceberg, est en train de fondre.

Ce n’est pas tant les économies attendues et mises en avant qui comptent, mais la volonté du gouvernement –avant comme pendant la crise– de remettre en cause le rôle et la place des services publics. Qu’il s’agisse de l’hôpital public, de l’Éducation nationale, de la concurrence et de la répression des fraudes, des services de l’équipement ou d’autres services publics, les restrictions sont à l’ordre du jour.

Le vote par le Sénat, après l’Assemblée nationale, de la loi HPST (Hôpital, patient, santé, territoires) en est un exemple éclairant.

La mise en place des agences régionales de santé (ARS) et la volonté conjointe de gérer l’hôpital public comme une entreprise privée (ce qui fut amorcé avec la tarification à l’activité) conduisent ainsi l’État à prendre le contrôle et la tutelle sur l’ensemble du système (hôpital, médico-social et assurance-maladie).

Ainsi, contrairement aux engagements du président de la République, les ARS contracteraient directement avec chaque caisse primaire d’assurance-maladie. Certes, les programmes nationaux seraient négociés entre l’État et l’assurance-maladie, mais leur application et leur mise en œuvre seraient du ressort des préfets sanitaires que seront les ARS.

On en arrive à un schéma proche de Pôle emploi. La Caisse nationale d’assurance-ma-ladie (comme l’UNEDIC) existerait encore mais sans responsabilité directe sur les caisses primaires d’assurance-maladie.

Il faut en quelque sorte que nulle résistance ne puisse s’exprimer face à la décision d’un État omnipotent. Encore une fois, c’est la logique Étatisation-Privatisation qui est en œuvre.

Ce sont aussi autant de garanties qui s’amenuisent, s’agissant du nombre de caisses primaires d’assurance-maladie sur le territoire.

Cette volonté systématique de restreindre ou de supprimer des services publics –ou de vouloir les gérer comme des entreprises privées– conduit progressivement à renier les principes républicains dont celui de l’égalité de droit.

Qui plus est, cette volonté n’est pas affichée. Les objectifs ne sont pas débattus. Sinon pourquoi avoir refusé –après l’avoir accepté– un grand débat sur le rôle et les missions du service public dans notre république?

On ne joue pas impunément avec les valeurs et principes républicains. La France n’est pas l’Amérique, disait-on. Elle a su historiquement mettre en place un système où l’égalité de droit et la solidarité étaient une exigence universelle et étaient souvent enviées. C’est ce qui permet aujourd’hui, par exemple, de parler d’amortisseurs sociaux importants pendant la crise. Certes, tout n’est pas parfait, mais les ratés sont aussi le fruit de plus de vingt ans de politiques économiques basées sur le triptyque Privatisation-Déréglementation-Libéralisation.

Derrière tout cela, c’est un choix de société qui est posé. Va-t-on vouloir encore copier le modèle anglo-saxon au moment où celui-ci prend l’eau?

Parmi les fondamentaux de la CGT-Force Ouvrière, outre l’indépendance, la liberté et la démocratie, figure aussi un attachement viscéral aux principes républicains. Dans ces conditions, défendre ces principes devient un devoir de résistance.

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Publié le 25 Mai 2009

Bonsoir à tous

 

Ci-dessous le résultat des élections de SOA




RESULTATS  DES ELECTIONS ST OUEN L’AUMONE

 

Tout d’abord le taux de participation

Plus de 90% sur l’ensemble des deux collèges

90.4% pour le 1er collège

91.25% pour le 2ème collège

 

Ensuite les Sièges d’élus à pourvoir

Sur un total de 22 sièges

 

17 reviennent à Force Ouvrière

 

Dans le détail

 

DP Titulaire   : 5 sièges sur 6

DP Suppléant : 4 sièges sur 6

 

CE Titulaire   : 4 sièges sur 5

CE Suppléant : 4 sièges sur 5

 

 

 

Les moyennes des listes FO au 1er collège (opérateurs-employés)

 

DP Titulaire    90.75%

DP Suppléant  73.75%

 

CE Titulaire    90.6%

CE Suppléant  85 %

 

 

Les moyennes des listes FO au 2ème collège (cadres –techniciens- agents de maîtrise)

 

DP Titulaire    35,7%

DP Suppléant  35,7%

 

CE Titulaire    47,8%

CE Suppléant  42%

Nous sommes dans ce collège devant le CGC.

 

Au niveau de l’entreprise la représentative de FO se porte à plus de 69%

 

Merci à vous tous pour votre confiance ,vous avez envoyé un message clair à la direction générale, les accords contre nature au détriment du personnel ne passeront pas par notre centre de distribution ,d’autres avant nous avec le soutien du personnel ont su trouvé la voie pour ramener la direction générale à la table des négociations avec au final des accords satisfaisants.

Les salariés de SOA ne subiront jamais la double peine  : quitter 3M et en payer les conséquences sur leurs fiches de paye pour enrichir quelques actionnaires peu scrupuleux .

Un grand merci, également à tous ceux qui nous ont apporté leur soutien et en particulier à ceux qu’on appelle les ²n’ouvriers de pithiviers².

C’est vous qui avez montré que rien n’est jamais perdu seule la lutte et l’unité syndicale quand elle est nécessaire peu en faire reculer plus d’un.

 

Bravo à

Caroline – Patricia - Eric – Jean Claude – Georges – Eric – Christian

Patrick – Alain - Philippe – Didier - Stéphane

 

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Publié le 25 Mai 2009


FO: «LA DÉMARCHE RELÈVE AVANT TOUT DE L’IDÉOLOGIE»


La confédération juge inacceptable la nouvelle proposition de loi impulsée par le gouvernement et qui vise à terme à mettre fin au repos dominical des salariés.

Le gouvernement persiste et signe sur l’extension du travail le dimanche. Après trois tentatives infructueuses, il entend profiter de l’été pour faire adopter une nouvelle proposition de loi par le Parlement lors de la session extraordinaire prévue en juillet. Déposée le 18 mai sur le bureau de l'Assemblée nationale, cette quatrième version du texte se veut «consensuelle», selon le ministre du Travail, Brice Hortefeux, alors que sur le fond, dénonce FO, l’objectif reste le même : ouvrir progressivement la voie à une banalisation «inacceptable» du travail dominical.

Présentée par le député de la majorité gouvernementale Richard Mallié, auteur de la première proposition inaboutie, la nouvelle mouture, «vise» à adapter au «principe du repos dominical» les dérogations dans «les communes et zones touristiques et thermales ainsi que dans certaines grandes agglomérations pour les salariés volontaires». Il s’agirait là de légaliser (avant tout) les pratiques contraires à la réglementation actuelle du travail dans certaines grandes zones commerciales, à l’instar de Plan-de Campagne dans les Bouches-du-Rhône, circonscription de M. Maillé. Celles-ci seraient désormais estampillées «périmètres d'usage de consommation exceptionnel».

Dans les zones touristiques et thermales, le texte devrait permettre notamment à «tous types de commerce, d'employer des salariés le dimanche».. Il en serait ainsi dans les zones frontalières où des périmètres identiques pourraient être délimités par le préfet «sur demande préalable du conseil municipal». Seraient alors concernées toutes les «unités urbaines de plus d'un million d'habitants», indique la proposition de loi. Après ce classement par le préfet, les entreprises «pourront demander une dérogation» au représentant de l’Etat, «s’il y a un accord avec les partenaires sociaux fixant les contreparties» pour les salariés. «A défaut d'accord, un référendum sera organisé» dans l'entreprise qui devra «nécessairement» prévoir des «contreparties» (doublement de salaire et repos compensateur), précise encore le texte.

«Il n'est pas question de remettre en cause le principe du repos dominical (…) mais il faut tenir compte des évolutions de notre pays», a défendu M. Hortefeux. Pour lui, «ce sont des dérogations ponctuelles permettant l'ouverture de certains commerces» et «c'est utile parce que ça peut créer ou préserver des emplois: cinq à dix mille selon certaines estimations». Des estimations qu’il dit tenir sans ambages «des «présidents (ou) des responsables de grands organismes (sic)» comme ceux des «Galeries Lafayette et de Monoprix (re-sic)». C’est un bon moyen, a t-il ajouté en substance, pour ne «pas rester les bras ballants» face à la crise.

«Même si le texte est modifié par rapport au projet initial, il n’en reste pas moins que la démarche relève avant tout de l’idéologie» car «nul ne peut croire sérieusement que le travail le dimanche est une réponse à la crise», a réagi FO, pour qui, «le principe selon lequel il faut modifier la loi parce qu’elle n’est pas respectée par tous n’est pas acceptable». C’est pourquoi la centrale syndicale entend «poursuivre les actions engagées contre l’extension du travail le dimanche»


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Rédigé par FO 3M SOA

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